La photo du soir :

L'intelligent du jour :

C'est la bête féroce, bien sûr ! D'un naturel plutôt modeste, je me dois pourtant de vanter ses mérites intellectuels indéniables.

La bête, en effet, entend et comprend notre belle langue de Molière. La preuve, il réagit à certaines phrases (oui, il est encore trop petit pour suivre un débat sur la casuistique de l'égoïsme) telles que :
Tu veux des croquettes ?
Tu veux sortir te promener ? (à dire en ouvrant la porte d'entrée)
Tu veux dormir sur quel oreiller ?
et ma préférée : Tu me fais un bisou ?

Le jazz du soir :

Envie d'une peau de bête devant un feu de cheminée, d'une baignoire d'eau brûlante avec des bougies partout, d'un plateau fromage (emmental, mozzarella et caprices des dieux) et de charcuterie basque, et d'un p'tit verre de vin rouge... avec Superdoudou !

La bête (féroce):

... fait du sport !

Les décos de Noël :

Et ce n'est que le début !
.

La reconversion de ma vie :

Message destiné à rassurer les personnes ayant potentiellement des doutes sur mon orientation future : la bête et moi avons mis au point un numéro nous assurant du lard dans la soupe pour quelques années au moins.

Assise sur un trône de faïence bas prix, jeux de jambes et de mains pour récupérer le rouleau rose tombé par terre, pendant que la bête, sur mes épaules, se délecte de mes oreilles, tout en chassant les féroces mèches de cheveux assaillant mon front.

Je n'expliquerais pas au public d'où me viennent ces griffures que j'arbore fièrement sur mon front avant la fin des répétitions, of course...

Le slow de l'hiver :

Certes, on repassera pour la qualité, mais à écouter quand même, autant pour la voix que les solos de guitare !

Le bobo du jour :

Ce matin, ou plutôt ce midi d'ailleurs, avouons tout, je pars travailler, la tête dans le c** des suites d'une soirée plutôt arrosée et fumante, avec mes collègues de boulot justement... Bref...
J'arrive, (découvre que mes collègues sont dans le même état second que moi), me mets en tenue, et commence à préparer les plats des clients. En fait, un seul plat, avec lequel je me suis brûlée. Après un quart d'heure la main sous l'eau, je m'enduis la main de biafine, et décide de passer au poste "caisse", le seul poste où je pourrais plus ou moins me débrouiller avec une seule main (d'ailleurs, pour ceux qui se demanderaient pourquoi la nature nous a doté de deux mains, je peux vous garantir que c'était hyper chiadé en fait !).
Je suis une jeune fille décidément bien élevée, j'en ai encore eu la preuve irréfutable aujourd'hui. A la 100ème "Vous vous êtes brûlée ?" des clients, j'ai répondu avec le même sourire qu'au premier jour "Hééé oui !" Bien sûr, ce soir, je peux vous citer au moins cent manières de tuer un client : la mort par baffe biafinée figure parmi mes préférées...

La chanson "Ohio" du groupe Over the Rhine, dont je ne sais strictement rien, désolée...

J'entends d'ici la voix chevrotante de Supermamounette qui dit que ça bouge tellement qu'elle en a le mal de mer... Ce à quoi je répondrai : "Mais ça s'écoute les yeux fermés !"

Des nouvelles de Tricoland :

Eh non, je n'ai point laissé tombé mes aiguilles ! Plusieurs ouvrages sont en lice, deux écharpes (non y en a quand même une qui est finie !), et la veste pour Supersoeurette. Bientôt les photos !

Le film culte du jour :

Et un de plus pour la filmo de Pacino, un ! Bon bien sûr, c'est plutôt du genre violent, un peu trash un peu gore mais... effectivement, quand Al envoie la purée, il fait pas semblant !

Le film culte du jour :

A y est ! J'ai vu le Parrain !

La bête (féroce):

Eh oui, malgré tous les paquets de croquettes qui y passent... Il tient toujours dans la main...

La chanson du soir :

Eh oui c'est triste.
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