Le fun du soir :

Il a plu toute la journée pratiquement ici. Du coup, la rue entre mon boulot et ma maison, qui est pavée lisse, est extrêmement glissante....mais ça, tout le monde ne le sait pas, ou ne l'évalue pas à sa juste valeur.... Qu'il est amusant de regarder les gens se faire des frayeurs en réalisant des déhanchés "twist'again", je ne m'en lasse pas.... Ou alors, tout aussi divertissant à l'oeil : les "très au courant", qui avancent d'un petit pas méfiant, et qui du coup se font avoir par un couvercle de bouche d'égout...
Bah allez, je suis pas méchante.... Je constate juste que la malédiction ne frappe pas toujours qu'à ma porte !
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Le ridicule ne tue pas :

J'en ai désormais la preuve formelle...

Après avoir passé la deuxième moitié de la nuit de lundi à mardi, en sandwich entre mon matelas , ma couette, et l'immense affiche des "Parapluies de Cherbourg" (qui en temps normal réside sur le mur au-dessus de mon lit), mais qui, là, m'est à moitié tombée dessus vers 3h54, j'émerge avec difficultés : 7h du mat'. Une petite demi-heure de gym avec ma coloc', et me voilà partie pour une heure de vélo sur les quais, "Eye of the tiger" !!!
Vers 9h, me revoila, complètement décoiffée, entre la capuche, et le vent (oui c'est sur, vu la vitesse à laquelle je pédale...!), pleine de boue, et l'air un rien Monsieur Michelin, avec mes 4 épaisseurs... Et alors que je m'apprête à composer le code de l'immeuble, arrive Supervoisin qui vient de jeter ses poubelles (je suppose...) Grand prince, il m'aide à ouvrir la porte, et appelle l'ascenseur. D'un geste rapide, je coupe mon mp3, il n'a pas besoin de savoir qu'en plus de m'infliger une heure de vélo dans le froid, j'écoute Tom Jones m'expliquer que je suis une lady... Bref ! Supervoisin appuie sur son étage pour faire démarrer l'ascenseur, et nous voilà partis. Ce que j'ignore, alors, c'est que lui il habite au 2ème, (et moi au 3ème, mais ça en plus Supervoisin lui il le sait...), alors, quand l'ascenseur s'arrête, je descend moi aussi...
"Tiens, depuis quand ya un paillasson devant ma porte ?!" que je lâche bruyamment dans le couloir...
"Depuis toujours..." me répond timidement la voix à la fois interloquée et amusée de Supervoisin, "En fait on est au 2ème là, vous c'est un coup plus haut..."
Je n'ai plus qu'à faire demi-tour (facile, avec le vélo...), en bredouillant dans ma barbe un pathétique "oups, excusez-moi...", et je rentre dans l'ascenseur toute rouge avec l'envie de creuser...
Il est 9h30, la journée s'annonce grandiose....

La chanson du jour :

"If only", de KT Tunstall.
Petit coup de foudre, entendu au boulot...
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La collision de la semaine dernière :

Allez, bande de chanceux, je vous avoue la chose... (de toute façon, tout se sait un jour ou l'autre, alors autant accélérer le processus pour en rester maîtresse !!).
Alors voilà l'affaire :
L'autre jour, en route pour aller travailler, toute guillerette, par ce beau temps et cette douce température pour l'époque, je sens que je suis insubmersible, un roc, "eye of the tiger" !
Les choses se gâtent devant l'entrée de mon travail...
Alors que j'amorce un quart de tour pour me diriger dans le restaurant (oui bon, c'est de la restauration rapide, soit, mais ne chipotons pas, ce qui va arriver est bien plus grave...)
Bref, alors que j'amorce donc mon quart de tour, j'ignore que dans les secondes qui vont suivre, je vais entrer en collision avec un... PIGEON !!
"Maydey maydey !!! Allô, ici tour de contrôle, venons d'être percutés par pigeon totalement aveugle..."
Evidemment, dans la plus grande rue piétonne et commerçante d'Europe, un samedi après-midi pendant les soldes, j'avais un large public...
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La pompe anti-stress du lundi matin :

Ce matin, réveil hargneux, à l'évidence , je n'ai pas assez dormi : pas envie de faire de gym, pas envie de petit déjeuner, juste envie de machouiller ma mauvaise humeur comme un malabar sous une douche bien chaude. Ouf, la magie opère, le dragon qui était en moi est presque délogé.

Après un rapide coup d'oeil sur mon agenda qui m'indique une liberté totale d'action jusqu'à 11h30, je décide d'aller profiter des dernières démarques, au cas où, sait-on jamais....
Très bonne idée, car au bout de 5min, je tombe sur la paire de pompe qui tue : un mélange de converse et de pataugas, pailletées, avec un revers écossais. Oui, évidemment dit comme ça, ça peut paraître flou, voire mafieux...
Voilà l'idée générale :

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Ce ne peut être que magnifique !

En plus vu l'heure qu'il est (9h45), je suis pépère dans le magasin, je peux essayer en toute tranquilité, assise sur un fauteuil moelleux en faux cuir, qui donne l'impression que j'ai des "gazs" à chaque fois que je repose mon popotin dessus, (la vendeuse doit avoir l'habitude, elle ne remarque même pas ma figure toute rouge). Bref... Je passe la merveille en 39 à mon pied gauche, l'impression bizarre que ça flotte un peu, dans le doute, je vais voir mon amie la vendeuse qui me dit qu'il faut au moins la pointure en dessous, c'est-à-dire du 38. Eh bien je suis donc réellement la preuve vivante en ce monde qu'on peut maigrir des pieds, ou du moins rapetisser des pieds. Je suis officiellement passée d'un 42 à un 38, en près de 5 ans...
A ce rythme là, ma soeur (de 5 ans) et moi on pourra bientôt s'échanger nos pompes !! Comment voulez-vous que je me considère comme une femme du coup !

La correction du soir :

Comme je ne fournis que de l'information d'exception, je me dois d'apporter une rectification à propos des lémuriens... Une praline m'a (gentiment certes !) fait remarqué que Timon n'était pas un lémurien, mais un... suricate !!

Dont voici justement la photo (effectivement , la ressemblance avec Timon saute plus aux yeux, qu'avec moi...) :

Le snif-snif du weekend :

Bah ça y est, la ptite famille de Minette venue la voir pour le weekend est déjà repartie... C'est pourri-bidon du paté qui pue (mon juron favori en ce moment), mais après un super-cookie au chocolat, je reprends du poil de la bête, et je préfère repenser aux bons moments !

Quand ma soeur vient, immanquablement, il y a le rituel du manège Allées Tourny. Cet après-midi, histoire d'en profiter au maximum, je décide que je ferai les 4 fameux tours avec elle.

1er tour : direction l'espèce de tourniquette, et là pas question d'admirer le paysage... Alors que mon oreille interne vient enfin de comprendre que tout va bien, et qu'elle transmet le message à mon estomac qu'il peut garder ma poêlée de patates-carottes, ma soeur chérie décide de changer de sens (du coup, la transmission oreille interne-estomac est quelque peu perturbée, mais arrive finalement à bon port à temps...).

2ème tour : en avant à l'étage (ben oui c'est un vrai carrousel !), après avoir changé deux fois de cheval, ma soeur opte pour un ptit équidé tout rose tout mimi, pendant que moi du coup, je me retrouve à escalader un dauphin à béret de marin bleu blanc rouge... Sauf que le bestiot en question, avec sa queue en l'air, et ma souplesse légendaire, j'ai bien failli pas réussir à lui monter dessus ! Heureusement que ma dévouée petite soeur était là pour me pousser au cul, au-dessus d'une petite dizaine de parents hilares (moi, j'aurai plutôt dit "moqueurs", mais bon...).

3ème tour : nous voilà, elle et moi à égalité, chacune sur un magnifique cheval digne de Mary Poppins. Les tours se passent à merveille (bien sur, mes genoux ne s'encastrent plus avec une régularité désarmante sur les nageoires du-dit dauphin !). Comment aurais-je pu imaginer que mon fidèle destrier oserait me trahir de la sorte...? Et oui, parce que ces petites bêtes, elles montent et elles descendent, et elles montent et elles descendent, et elles s'arrêtent pas forcément dans la position où on les a trouvées au départ (la malédiction ne prend pas de RTT le weekend !). Me voilà donc perchée bien plus haut que prévu, au moment de la descente...
Ma mère venue aider ma soeur a descendre me propose gentiment son aide par la suite, mais digne et fière, j'ai l'amer regret de devoir décliner sa proposition, "non non, tu parles, ça va aller" dis-je en amorçant une descente sur le côté, pour finir la cheville coincée sur la crinière du bourrin. Un dernier petit effort, heureusement que "joli-coeur" est là derrière moi pour m'empêcher de m'étaler sur le plancher ! L'honneur est sauf : je repars dignement, mon quatrième et dernier ticket en main... direction le carrosse de Cendrillon : soft, tout va bien.
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La chanson du soir :

Grâce à "8 femmes", j'agrandis ma culture musicale française (décidément, que ce film est bénéfique !!)
Là, il s'agit de Corynne Charby, mais si vous n'avez pas oublié "Et j'suis comme une boule de flipper....qui roule...qui roule" (là c'est l'écho, très 80's).
Pour les pralines qui ne verraient absolument pas ce que c'est :
http://fr.youtube.com/watch?v=mBiTrNzJ7DE

Eh bien, désormais, je sais que Corynne Charby avait au moins un deuxième succès, une seconde corde à son arc comme qui dirait... "Pile ou face", chanson redécouverte grâce à Emmanuelle Béart dans "8 femmes" :
http://fr.youtube.com/watch?v=-l70OKXjg98

Je vous l'avez bien dit, que dans mes bonnes résolutions 2008, je voulais me cultiver !

Autres exemples :

Parce que les lémuriens, c'est aussi ça :


...et ça :


Bref....

L'animal du jour :

Ce soir, c'était séance ciné à la maison, avec les filles de mon cours de théâtre. Au programme, "8 femmes" de François Ozon, avec Catherine Deneuve, Fanny Ardant, Isabelle Hupert, Virginie Ledoyen, Ludivine Sagnier, Firmine Richard, Danielle Darrieux et Emmanuelle Béart. Les éclats de rire se mêlent aux protestations sur la justesse de tel ou tel jeu, pendant que le milka circule d'un bout à l'autre du canapé...
Le choix du film n'est pas anodin, bien entendu, il entre dans notre enquête d'actrice, là, en l'occurence, voir un huis clos entre plusieurs femmes, (nous nous serons 5 femmes sur scène : mères, filles, soeurs...). Surprenant, de remarquer que certains dialogues ressemblent à ceux de notre pièce, certaines scènes aussi... le père qui dort et qu'on ne veut pas réveiller,( nous c'est le fils mais c'est dans l'idée quand même), les discussions sur l'amour, les hommes, le passé...

Mais avec tout ça, où est le lien avec "l'animal du jour"....? La question est tout à fait légitime, certes !
Eh bien, pendant le générique de début, chaque nom d'actrice est accompagné d'une fleur. Or, le prof de théâtre nous demande tout le temps, quand nous jouons "Quelle est ta couleur, ta musique, ta danse, ton tempo ...?" Alors nous nous sommes"amusées" à chercher quelle pourrait être notre fleur, puis nous avons digressé sur quel serait notre animal (dans la vraie vie).
Alors.... Nous avons un chameau, une autruche, la maman écureuil dans Merlin l'enchanteur (Disney), un panda, et un lémurien.
Je précise tout de suite, un lémurien, c'est Timon, dans le Roi Lion, autrement dit, c'est ça :


Je crois qu'il y a des soldes intéressantes sur le maquillage à Sephora... Peut-être l'occasion d'investir.... (d'urgence !)

Le gâteau de la semaine :

Ca y est, j'ai réalisé ma tarte chocolat-bananes !! Le résultat est plutôt positif, pour une première immersion totale et en solitaire dans la jungle...
Certes, j'ai eu quelques déconvenues, rien qu'au niveau du vocabulaire déjà "faites cuire la pâte à blanc", "faites fondre le chocolat au bain-marie" (faites, faites.... je veux bien moi, si, si, je suis pleine de bonne volonté !!...).
Après un coup de fil à Superpépécuistot, je sais qu'il faut que je mette 500g d'haricots secs sur ma pâte pour qu'elle ne gonfle pas pendant la cuisson (donc qu'il faut que je sorte acheter ces ptites choses, en l'occurence au supermarché bio d'à côté où heureuse surprise, il y a moins 10% dessus... surprenantes soldes mais bon...!)
J'enfourne ma pâte chargée de sa cargaison d'haricots et c'est parti pour 20 min (et comme bien sûr j'en profite pour passer un coup de fil, ce n'est qu'au bout des 20 minutes que je m'aperçois que ça avait commencé à cramer), une fois la cuisson terminée, je commence à retirer les haricots (bien sûr ils ont collé au fond, je dois les retirer un par un, ça me prend un temps fou, et la moitié saute un peu partout, je deviens la petite poucette aux fayots pas cuits, ça m'agace...).
Je coupe les bananes en rondelles, (j'en profite pour faire mon 11h), que je dispose joliment au fond de la pâte, je fais fondre le chocolat et la crème liquide avec succès au bain-marie (merci encore Superpépécuistot !!), je goûte pour voir si c'est bon (j'en profite pour faire mon 11h05), puis je répands le tout sur les bananes. C'était censé tout recouvrir, mais une minette ne chipote pas sur les détails, elle est indulgente avec elle-même parfois....
Le fond de la casserole me sers pour mon 11h10.
Le tout au frigo pendant deux heures, une ptite déco bananeuse pour faire genre, et voilà l'oeuvre :

A la découverte d'un monde totalement étranger :

Il existe trois mètres carrés de mon appartement peuplés d'animaux sauvages inconnus, tels que les plaques, le four, (bien que j'ai déjà réussi à amadouer son cousin le "micro-ondes"), ou encore la casserole et la poêle...
Cet endroit, que ma téméraire colocataire nomme "cuisine" renferme notamment presque toutes les victuailles de la maison (à part bien sur les chocolate chunk macadamia, qui ne sont pas encore tombés dans les griffes du féroce réfrigérateur, "frigo" pour les intimes).
Mais l'autre jour, au supermarché, j'ai décidé de mettre un terme à cette mésentente, et comme ni le grille-pain, ni les plaques n'ont encore fait le 1er pas pour entrer en communication avec moi, ce sera donc moi qui ferait le 1er pas : j'ai acheté de la pâte brisée pour faire des gâteaux !

"Tarte chocolat-banane", épisode pilote mardi matin...

La lecture du dimanche :

"Baisers de cinéma" d'Eric Fottorino, chez Gallimard.
Non mais c'est vrai, ya pas non plus que la bouffe dans la vie, un peu de culture que diable (ma vie ne tourne pas seulement autour des cookies plein de chocolat !).
Donc, ce livre est le dernier lu en date. Arrivé par la cheminée un certain soir de décembre, j'attendais désespérément d'avoir le temps de le lire, ce qui est désormais chose faite, et qui du coup me permet de vous le recommander !
En plus, il a eu le prix Femina 2007, donc je dois pas à être la seule à avoir apprécié...
Voici ce qui est écrit au dos du livre en question :"Je ne connais rien de mes origines. Je suis né à Paris de mère inconnue et mon père photographiait les héroïnes. Peu avant sa mort, il me confia que je devais mon existence à un baiser de cinéma."
C'est dingue comme on plonge dans ce bouquin, dans cette histoire d'amour et de recherches d'origines !! En plus, c'est tellement bien écrit qu'en un dimanche l'affaire est dans le sac !!

Le truc en plus :

J'arrête tout de suite les pralines qui auraient envie de dire que c'est pas comme ça qu'on gagne un régime ! Non mais c'est vrai, c'est l'hiver là, les temps sont durs : la pluie, le froid, tout le temps la nuit, la mauvaise foi (ça c'est pour les rimes croisées bien sûr, rien de plus....)
Bref, je veux bien me lever à des heures où les coqs eux-mêmes n'envisageraient aucune action, pour me livrer à jeûn à des actes héroïques, tels que des abdos-fessiers (tout en regardant les clips, pour voir Madonna faire la même chose super naturellement, avec en plus un justaucorps rose bonbon, des patins à roulettes et le tout en chantant).
Je veux bien, je veux bien.... Mais quand les "nouvelles technologies" mettent à notre disposition des ptites choses bien sympathiques, et (très franchement) pas excessivement caloriques, pourquoi résister ?
Et partant du principe que de toute façon, je cèderai à la tentation, autant prendre l'initiative !! ("Comment ça, aucune morale, aucune volonté...?!")




Alors là je précise : petite douceur très différente du nutella... Pas de noisette et pratiquement pas de gras, du coup, un goût particulier, et particulièrement bon, et sans conséquences (à moins de remplacer les tartines de pain (bien sages) par des chocolate chunk macadamia (nettement plus amusant...)

Le goûter de l'année :

Allez, je partage enfin avec vous ce qu'est ce mystérieux "chocolate chunk macadamia"...
Au premier abord, un joli emballage de cookies, pas de quoi se taper le cul par terre, certes...
Mais, c'est une fois que le paquet est ouvert que les choses sérieuses commencent : parce que sur ces cookies, il y a des énormes pépites de chocolat au lait comme on en trouverait même pas en tablettes, et dedans des éclats de noix de macadamia, qui, je l'admets rendent peut être la "chose" plus calorique, mais qui ajoutés au fondant du reste du cookie, et d'un lait chaud-sucre vanillé-fleur d'oranger en font le meilleur allié de l'hiver et de la déprime du monde (nutella et Patrick Dempsey comris!)

Pour les gourmandes (et les gourmands...) :

Les malédictions (#4) :

Forcément, c'était trop beau...
Ma couverture allait enfin être finie, j'allais enfin pouvoir l'utiliser sans craindre que le crochet tombe et que le fil suive en défaisant le tout, et j'aurai eu la satisfaction d'avoir fini un projet de plus...
Le tout en utilisant une seule pelote, et en entier en plus, parce que à vue d'oeil, ça allait tomber pile !! Quelle chance (8,57 € la pelote...) !
HAHA....Mais non !!
Alors que j'étais en plein décompte de tours de crochet, "plus que trois... plus que deux... (tiens, plus que deux chocolate chunk macadamia aussi...), plus qu'un... NOM D'UN MOUTON !!! Plus assez de laine !!!
Oui, mais ce que la malédiction ignore, c'est qu'avec la vendeuse de la lainerie maintenant, on est comme cul et chemise, et qu'elle a toujours une solution dans sa botte en cuir !
HAHA...! (à moi maintenant !)... Non mais !

La chanson de la semaine :

"High Hopes" des Pink Floyd. No comment...

Le film du soir :

"Ensemble c'est tout" avec Audrey Tautou et Guillaume Canet (Dieu le bénisse...) Alors oui, j'entends déjà au loin le fameux refrain "Comédie romantique gnagnagna...fleur bleue...pas réaliste...gnagnagna..."

N'empêche qu'au chaud sous ma couette, avec un paquet de chocolate chunk macadamia, et Guillaume Canet dans mon ordinateur, j'ai passé une sacré bonne soirée...

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Le piment du mardi :

Le mardi après midi, c'est le cours de théâtre réservé aux deuxième années, où on travaille sur les pièces que l'on va jouer aux mois de mai-juin.
Et les filles de mon cours et moi-même avons décidé de faire une entrée à thème à chaque cours. Hier, c'était "GLAMOUR", je vous laisse juger....


Bien entendu, pour ceux qui ne saurait pas qui je suis, je ne dirai rien...

Un bon début d'année :

Les soldes...
Résolue à faire fi de ces petits bourrelets qui m'accompagnent (et qui ont invité des potes depuis les fêtes de Noël...), je décide d'aller à la quête de LA bonne affaire. Direction le rayon lingerie à H&M, avec la ferme intention d'investir dans de la (vraie) lingerie féminine.
"Ô joie, un joli ensemble vert et avec ma taille dans les deux morceaux !!! Quelle chance !!"
Ca cache quelque chose, me direz-vous, "Mais où est la malédiction ?!" Eh bien non, pas de taches, pas de trous ou de fils qui dépassent, pas d'erreurs d'étiquetage, rien....
Rentrée à la maison, toute heureuse de mon achat que j'essaie aussitôt en admirant le résultat dans la glace ("Bon les bourrelets, ça va de squatter depuis deux ans, mais là en plus, vos potes de Noël ça serait bien qu'ils rentrent chez eux maintenant, c'est fini les fêtes !"), je le mets dans la panière à linge histoire de pouvoir l'essayer le plus vite possible en conditions réelles.
Tout ça, c'était sans compter sur la malédiction !!
L'autre matin, en regardant les clips à la télé avec ma coloc', pendant notre gym (si, si...), nous tombons sur le nouveau clip de Britney Spears "Piece of me". Stupéfaction, plein de nanas en sous-vêtements, dont une portant le même ensemble vert que moi.... y avait forcément anguille sous roche, mais là, tout de même, c'est le pompon, comme on dit...

Le presque anniversaire de l'année (en fait c'est le mois prochain) :

Eh ouais, le mois prochain, ça fera trois ans qu'on est ensemble avec Superdoudou !!
Et que toutes les pralines ayant abusé des prédictions de Cosmopolitan sur les couples, et qui du coup affirment que l'amour dure trois ans ferment leur bec !
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Le film du soir :

"Vol au dessus d'un nid de coucou" , de Milos Forman (1975), avec Jack Nicholson, Louise Fletcher....

Depuis le temps que Luc notre prof de théâtre nous en parlait, (et qu'intérieurement je me sentais inculte chaque fois un peu plus...), ça y est, on l'a vu, ma coloc, la barbare de la piscine et moi (faut que j'arrête de l'appeler comme ça, elle est tellement mimi en vrai, si vous saviez !), enfin bref...
FILM A VOIR !!

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Le sport de la semaine :

Eh ben nous y voilà, depuis dimanche soir que je rabâche que je vais aller faire du sport, du footing et tout.... Ce matin c'était PISCINE !! Avec une courageuse de mon cours de théâtre et une amie à elle.
Enfin, quand je dis une courageuse, je devrais dire une barbare oui ! Non mais qui irait faire plusieurs longueurs en tenant une planche, histoire de faire fonctionner que les jambes ? J'ai essayé, mais après 5 min de sur place ridicule à éclabousser tout le monde autour, faut aussi être lucide dans la vie. Et après elle a même placé un machin vert entre ses genous, histoire cette fois d'avancer qu'avec la force des bras... "Non moi tu vois, j'ai fait du lancer de marteau pendant six mois, alors j'ai pas vraiment de problèmes au niveau des muscles des bras..." Ouais genre... Sauf que j'en menais pas large au bout de deux longueurs avec ma brasse mi-grand débutant mi-chien qui va chercher le frisbee dans l'eau...
En plus, là, j'avais l'élément qui tue : j'ai nommé les LUNETTES !! "Crache dedans, ça empêchera la buée une fois dans l'eau" me lance la barbare en joignant le geste à la parole : petit crachat sec mais très raffiné. Perplexe, je regarde les deux coques qui vont bientôt me compresser les yeux, et je tente de cracher dedans, comme d'hab, un grand fil de bave devant tout le monde, glam et sexy, histoire de prolonger l'effet "petite bedeine dans mon maillot + bronzage inuit" bref...
Mais le plus remarquable, dans cette piscine, c'est tout de même les vestiaires : voici le topo.
Vaste "hangar" un peu sombre, et d'aspect plutôt brut, certainement "contemporain" diraient certains.
Des rangées de cabines alignées, en plusieurs colonnes, et devant une colonne sur deux, des bornes genre parkmètres. "Insérez votre carte" Eh oui, parce qu'à Bordeaux, on n'a pas un pov' ticket de merde, non, on a une sorte de carte de téléphone. Donc on insère sa carte, ensuite on tape son code secret à 4 chiffres, et là, la machine nous attribue d'office une cabine ! En l'occurence là, pour moi, une des rares cabines encore occupées de la colonne (la malédiction est mon amie !).
Puis quand on est changé, on laisse la porte de sa cabine ouverte, enfin, on pousse la porte à fond histoire d'entendre un petit "clic" qui vous assure que vos affaires sont solidement gardées dans l'angle formé par la porte et les deux murs (s'assurer avant qu'on a bien mis toutes ses affaires dans le-dit petit coin, évidemment).
Et quand on veut revenir à sa cabine, on insère une nouvelle fois sa petite carte, on tape le numéro de sa cabine, et son code secret, et là, ça ouvre la cabine à distance ! Forcément, on se prend un peu pour la méchante dans James Bond, celle qui fait un code secret qui ouvre la trappe aux crocodiles et aux méchants requins affamés qui vont dévorer James... Bon, bien sûr, le top ça serait de gérer la sortie de bassin aussi bien qu'Ursula Andress, mais faut aussi avoir des objectifs dans la vie, tout bien parfait du 1er coup, c'est tellement banal... !!

Le film de la semaine :

"Il était une fois" avec Patrick Dempsey (Dieu le bénisse...).
7 personnes dans la salle, dont 3 couples, du coup je vous laisse deviner qui faisait la 7ème personne, seule avec son manteau sur les genoux parce qu'il fait froid...
Bilan de la soirée : 1 heure et 48 minutes à me dire "meuuh non moi j'y crois pas aux contes de fées, et au Prince Charmant...!!" pour finalement arriver à la conclusion que de temps en temps moi aussi j'aimerai avoir des fleurs et des papillons sur la tête, des écureuils qui m'aident à faire le ménage, et un prince qui m'invite à des "rendez-vous galants"...
Voilà, c'est dit : Minette y croit encore, j'assume !!!
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Les malédictions (#3)

Au programme aujourd'hui : remplissage (voire blindage) du frigo : bouteilles d'eau, de lait, briques de jus de fruits, yaourts, PQ... bref la totale.
Heureusement que j'ai mon super cabas à roulettes !! Celui qui me permet de faire des supers grosses courses de 6 tonnes tout en gardant un certain air naturellement dégagé dans la rue Ste Catherine, genre "j'ai juste acheté trois broutilles...!"
Sauf que ce soir, je découvre avec stupeur une des deux roues tombées dans l'ascenceur. Déjà, obligée de remonter à l'appart, hors de question de la remettre en place genre bricolage à deux balles, si c'est pour qu'en plein milieu du trajet (pire : du trajet RETOUR), elle se re-barre et que je finisse le parcours en soufflant comme un boeuf en portant un cabas genre "poids lourd 36 tonnes"...
Secundo, il a fallu faire une répartition des courses que je vais donc devoir faire en deux fois : le nécessaire urgent (PQ) et l'accessoire (le reste).
Et, pour une fois, aucun voisin pour assister ça !!!!

Le choix de la semaine :

Elle est "la solution pour les couturières débutantes qui souhaitent évoluer vers des ouvrages plus sophistiqués" dixit Monsieur Darty, il s'agit de la JANOME HARMONY 2039 SN !
- Enfilage automatique de l'aiguille (non mais c'est vrai à la main c'est chiant... Meuh non je suis pas une feignasse !).
- 13 points utilitaires ET décoratifs.
- Coupe-fil incorporé.
- Contrôle de la vitesse par rhéostat électronique, ce qui en langage de couturière signifie tout bêtement "par une pédale" (oui bon ça va j'avoue, c'est Monsieur Darty qui l'a précisé entre parenthèses, parce que là moi je maîtrise pas du tout du tout le rhéostat-truc...)
Et parmis les accessoires fournis, mon préféré est déjà le "découd-vite", je sais pas pourquoi, je sens qu'on va être amené à passer du temps ensemble lui et moi... En tout cas, le nom me plaît beaucoup, je le trouve très porteur de sens et surtout très imagé... :)



Sinon il y a aussi : la BROTHER JS 23

Toujours avec le fameux rhéostat électronique !
- 5 points droit !! (Eh ben ils sont pas de trop, vu comme je suis douée pour suivre une ligne... enfin pour le moment !)
- 3 points zigzag, alors là ça du coup c'est totalement inutile... :)
- Le moins, c'est que y a pas mon chouchou le "découd-vite".
- En revanche, petit plus, le plan de travail est éclairé !

Enfin bon, ça c'est ce que j'ai trouvé pour l'instant grâce à Internet. Affaire à suivre !

La chanson de l'année :

"Eye of the tiger" par Survivor !

C'est décidé, cette année, c'est cette chanson qui me servira de réveil. En 2008, Rocky c'est moi !
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Bonne année à toutes et à tous !

Bonne année, bonne santé et que 2008 vous apporte tout ce que vous souhaitez, même plus !!!