Dirty Dancing !!
A fond dans le mp3 quand on va au cours de théâtre à vélo avec ma coloc'.
Brailler tous les refrains le nez dans le guidon (t'auras l'air d'un coureur !) quand on passe par les quais.
Le must, c'est la tête des gars quand on passe à côté du skate park... !! :)
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mercredi 28 novembre 2007
La super nouvelle de la semaine :
A y est, le choix des pièces est arrêté et la distribution des rôles aussi, pour les spectacles de fin d'années (comment ça fait trop MJC ce que je viens de dire...!!) bref...
Je serai donc la mère dans "J'étais dans la maison et j'attendais que la pluie vienne" de Jean-Luc Lagarce, nous sommes 5 filles à jouer dedans (en fait un rôle pour chaque fille du cours).
Les garçons (ainsi que Marina petite chanceuse qui joue dans les deux pièces) joueront eux "The Line" d'Israel Horovitz. Comme il manquait deux rôles pour les deux derniers garçons du cours, ils diront des textes de Lagarce, accompagnés d'un troisième larron qui n'a pas beaucoup de texte à dire dans The Line.
Certes, me direz-vous, c'est un peu flou là tout de suite, mais je vous tiendrai au courant des dates de représentations, pour ceux que ça intéresse bien sûr (mois de juin ce me semble-t-il...).
Sinon, le tricotage de ma couverture est un peu au ralenti là... dommage, car le froid lui s'incruste !
Je m'habitue à ma voix Bruelique, bien que j'essuie encore quelques moqueries au passage, et j'ai d'ailleurs contaminé ma coloc, qui en bonne martiniquaise, essaie de déloger le mal par des grogs. Le prof de théâtre, lui, nous conseille soit un verre de bière brune avec un jaune d'oeuf dedans, soit de la bière blanche chaude (secret de santé russe !). Mon coeur balance là.... quoique je me demande si ça pourrait être plus mauvais que l'Angispray...
Je serai donc la mère dans "J'étais dans la maison et j'attendais que la pluie vienne" de Jean-Luc Lagarce, nous sommes 5 filles à jouer dedans (en fait un rôle pour chaque fille du cours).
Les garçons (ainsi que Marina petite chanceuse qui joue dans les deux pièces) joueront eux "The Line" d'Israel Horovitz. Comme il manquait deux rôles pour les deux derniers garçons du cours, ils diront des textes de Lagarce, accompagnés d'un troisième larron qui n'a pas beaucoup de texte à dire dans The Line.
Certes, me direz-vous, c'est un peu flou là tout de suite, mais je vous tiendrai au courant des dates de représentations, pour ceux que ça intéresse bien sûr (mois de juin ce me semble-t-il...).
Sinon, le tricotage de ma couverture est un peu au ralenti là... dommage, car le froid lui s'incruste !
Je m'habitue à ma voix Bruelique, bien que j'essuie encore quelques moqueries au passage, et j'ai d'ailleurs contaminé ma coloc, qui en bonne martiniquaise, essaie de déloger le mal par des grogs. Le prof de théâtre, lui, nous conseille soit un verre de bière brune avec un jaune d'oeuf dedans, soit de la bière blanche chaude (secret de santé russe !). Mon coeur balance là.... quoique je me demande si ça pourrait être plus mauvais que l'Angispray...
dimanche 25 novembre 2007
Le flash news du soir :
94 mailles.... Si j'atteins les 100 mailles, j'aurai doublé la mise de départ !!
La galère de la semaine :
Depuis 3 jours je suis malade, eh oui comme quoi ça arrive aussi aux plus grands... Nez bouché, poumons "encrassés", voix virile.... bref, chaque nuit est un calvaire, j'ai l'impression de faire la pub pour actifed jour et nuit... Sauf que moi je joue la conne à droite de l'écran qui n'a pas acheté actifed....
Mais le pire c'est le matin, quand je me lève et que je dois dire "bonjour" à ma coloc'. Je dois avouer qu'au réveil, je ne maîtrise pas du tout du tout ma voix, on dirait Patrick Bruel (Dieu le bénisse)... Heureusement, j'ai une coloc' sympa qui ne fait pas de moqueries, pas comme d'autres qui ont eu vite fait de me trouver les surnoms adéquats...
Bref, pour combattre avec férocité et sans ordonnance ce virus traitre, je suis allée à la parapharmacie et là, c'est parti pour questions pour un champion, spécial "Où t'as mal" :
"Oui je tousse, non pas sèche, attendez, vous entendez quoi par sèche, ah.. alors c'est les deux, ah ça oui j'ai le nez pris, vous auriez pu le deviner tout de même, non maintenant j'ai plus spécialement mal à la gorge par contre j'ai plus de voix, si j'ai la gorge rouge ? ah bah dans la bouche tout est rouge, alors si c'est qu'une question de nuances mon éclairage de salle de bain n'est pas assez bon pour pouvoir vous répondre...."
Eh c'est à ce moment là que Julien Lepers me pose un dilemne, me voila seule face à un mur... Pour ma gorge j'ai le choix entre un traitement par suppositoire et un par spray buccal. Sans hésitation aucune j'appuie sur le buzzer et réponds par "spray buccal s'il vous plait" mais là, Julien Lepers prend une mine déconfite genre "Là t'as tout faux ma grande...mais bon c'est toi qui paye" alors que moi, intérieurement, j'essaie de retracer le parcours du suppo depuis son point d'arrimage jusqu'à la gorge, pour arriver à la conclusion que je n'aimerai pas faire son boulot...
Quelques minutes plus tard, dans les vestiaires de mon boulot, je déterre la hache de guerre avec le Nurofen, puis le sirop, et enfin, le fameux spray buccal. Passé le 1er cap du "mais enfin comment je vais utiliser ce truc...?", j'arme la chose en direction de ma gorge en feu.
1ère sensation, "hum c'est frais c'est agréable ce truc..."
2ème sensation, une seconde plus tard "je peux quand même pas dégueuler sur les pompes de la fille qui se change en face de moi, mais c'est quoi ce truc infâme que je viens de balancer dans ma bouche ??"
Donc vous l'aurez compris, je n'ai plus qu'à mettre mon Angispray en vente sur ebay (état neuf, servi qu'une fois et ne risque pas de resservir avant la fin des enchères. Mise à pris, je vous l'offre débarrassez moi de ce truc dégueu par pitié).
En attendant, c'est quand même pas de bol, je suis tombée dans cet état maladif le lendemain de la visite médicale du travail.
Conclusion : porter la poisse, c'est un état d'esprit de chaque instant !
Mais le pire c'est le matin, quand je me lève et que je dois dire "bonjour" à ma coloc'. Je dois avouer qu'au réveil, je ne maîtrise pas du tout du tout ma voix, on dirait Patrick Bruel (Dieu le bénisse)... Heureusement, j'ai une coloc' sympa qui ne fait pas de moqueries, pas comme d'autres qui ont eu vite fait de me trouver les surnoms adéquats...
Bref, pour combattre avec férocité et sans ordonnance ce virus traitre, je suis allée à la parapharmacie et là, c'est parti pour questions pour un champion, spécial "Où t'as mal" :
"Oui je tousse, non pas sèche, attendez, vous entendez quoi par sèche, ah.. alors c'est les deux, ah ça oui j'ai le nez pris, vous auriez pu le deviner tout de même, non maintenant j'ai plus spécialement mal à la gorge par contre j'ai plus de voix, si j'ai la gorge rouge ? ah bah dans la bouche tout est rouge, alors si c'est qu'une question de nuances mon éclairage de salle de bain n'est pas assez bon pour pouvoir vous répondre...."
Eh c'est à ce moment là que Julien Lepers me pose un dilemne, me voila seule face à un mur... Pour ma gorge j'ai le choix entre un traitement par suppositoire et un par spray buccal. Sans hésitation aucune j'appuie sur le buzzer et réponds par "spray buccal s'il vous plait" mais là, Julien Lepers prend une mine déconfite genre "Là t'as tout faux ma grande...mais bon c'est toi qui paye" alors que moi, intérieurement, j'essaie de retracer le parcours du suppo depuis son point d'arrimage jusqu'à la gorge, pour arriver à la conclusion que je n'aimerai pas faire son boulot...
Quelques minutes plus tard, dans les vestiaires de mon boulot, je déterre la hache de guerre avec le Nurofen, puis le sirop, et enfin, le fameux spray buccal. Passé le 1er cap du "mais enfin comment je vais utiliser ce truc...?", j'arme la chose en direction de ma gorge en feu.
1ère sensation, "hum c'est frais c'est agréable ce truc..."
2ème sensation, une seconde plus tard "je peux quand même pas dégueuler sur les pompes de la fille qui se change en face de moi, mais c'est quoi ce truc infâme que je viens de balancer dans ma bouche ??"
Donc vous l'aurez compris, je n'ai plus qu'à mettre mon Angispray en vente sur ebay (état neuf, servi qu'une fois et ne risque pas de resservir avant la fin des enchères. Mise à pris, je vous l'offre débarrassez moi de ce truc dégueu par pitié).
En attendant, c'est quand même pas de bol, je suis tombée dans cet état maladif le lendemain de la visite médicale du travail.
Conclusion : porter la poisse, c'est un état d'esprit de chaque instant !
jeudi 22 novembre 2007
Des nouvelles de Tricoland :
Il y a une semaine environ, je me rendais au "conforexpo" à Bordeaux, direction l'annexe des loisirs créatifs. Tout un hangar rempli de laine, de fil, de papier décopatch, de perles... bref, un Disneyland à la portée (presque...), de mon chéquier.
D'abord je m'inscris à l'atelier "découverte de la machine à coudre, fabrication d'un coeur magique pour le sapin de Noël". Je passerai sur les détails sordides (oui, les machines et moi n'envisageons pas encore d'enterrer la hache de guerre malheureusement), bref...
Après avoir dépensé plus de 50 euros en perles artisanales, papiers et bidouilles diverses, je tombe en pâmoison devant une pelote de laine blanche au toucher "nuage", le verdict tombe sans appel, je repartirai du conforexpo avec 10 pelotes, et la ferme intention de me constituer une petite couverture nuage toute chaude et toute douce.
Bon, allez, maintenant qu'on est intimes, j'avoue, le tricot s'annonce un peu plus ardu que prévu :"Ooh oui extrêmement facile à tricoter ça c'est sûr, hein Marie-Hélène ?" dixit la vendeuse au conforexpo...
Tu parles, des clous oui !! J'ai monté 50 mailles. Au bout de deux rangs, j'en avais 64, 5 rangs plus tard j'en avais 72.... à ce train là il va falloir que je remplace mes aiguilles par des javelots !
Bon courage !
D'abord je m'inscris à l'atelier "découverte de la machine à coudre, fabrication d'un coeur magique pour le sapin de Noël". Je passerai sur les détails sordides (oui, les machines et moi n'envisageons pas encore d'enterrer la hache de guerre malheureusement), bref...
Après avoir dépensé plus de 50 euros en perles artisanales, papiers et bidouilles diverses, je tombe en pâmoison devant une pelote de laine blanche au toucher "nuage", le verdict tombe sans appel, je repartirai du conforexpo avec 10 pelotes, et la ferme intention de me constituer une petite couverture nuage toute chaude et toute douce.
Bon, allez, maintenant qu'on est intimes, j'avoue, le tricot s'annonce un peu plus ardu que prévu :"Ooh oui extrêmement facile à tricoter ça c'est sûr, hein Marie-Hélène ?" dixit la vendeuse au conforexpo...
Tu parles, des clous oui !! J'ai monté 50 mailles. Au bout de deux rangs, j'en avais 64, 5 rangs plus tard j'en avais 72.... à ce train là il va falloir que je remplace mes aiguilles par des javelots !
Bon courage !
mercredi 21 novembre 2007
Le truc en plus :
Le groupe de rock anglais Duran Duran, groupe phare des années 80, associé à la New Wave.
lundi 19 novembre 2007
La grève des transports à la parisienne :
La vache, ça vaut quand même le coup de voir "en vrai" ce que l'on voit tout le temps à la télé : les bousculades, les gens ratatinés dans les rames genre aquarium trop rempli, les engueulades...
Ce weekend, j'étais à Paris, pour rendre une petite visite à Superdoudou, très bonne idée, d'aller à Paris en pleine grève SNCF - RATP...
Le moment le plus sympa fut quand même le trajet en métro de la place d'Italie jusqu'à la gare Montparnasse (1 métro sur 10, cinquante minutes d'attente, des gens excédés...). Après avoir laissé filer 2 rames, je décide de m'engouffrer quoi qu'il advienne dans la 3ème qui finit par arriver archi bondée comme prévisible.
Par un miracle galactique, je suis dedans !!!!
Nous voilà totalement coincés-encastrés les uns dans les autres. Mon face à face avec un charmant jeune homme tourne court, me voila le nez collé à une jeune dodue visiblement de mauvaise humeur. La rame s'ébranle lentement, mais s'arrête quelques mètres plus loin, en plein tunnel, puis la lumière se coupe : panne d'électricité. Supéér... En plus, grâce aux (faibles) ampoules de secours, je commence à discerner l'oeil de plus en plus mauvais de la dodue, si elle décide de s'énerver, c'est clair, je vais en prendre pour mon grade... Pour décontracter l'atmosphère, les deux mamies derrière moi proposent que ceux qui sont assis se mettent debout sur les sièges, pour faire un peu d'air , réaction mitigée dans l'assemblée, surtout de la part des principaux intéressés. Je décide alors d'apporter ma pierre à l'édifice, et pour détendre la dodue, je lui ôte mon écharpe qui, dans la cohue, lui est arrivée sur la tête. 5 min... 10min... ça me déplairait fortement d'avoir à regretter d'être montée dans cette rame après tout le mal que je me suis donnée ! Ouf, nous repartons, lumière et tout...
Quelques stations plus tard, je parviens à m'arracher de cet enfer pour en découvrir un autre : la gare Montparnasse. Enfin, je dois avouer que là, tout se passe plutôt facilement (et du coup je réalise pleinement que j'ai laissé Superdoudou pour un sacré temps...sniff sniff...).
Bon reprenons nos esprits, je suis à la recherche d'une voie 8, d'une voiture 6 et d'un siège 21. Les deux 1ères étapes se passent sans encombres, mais là, stupeur, il y a un couple de vieux enracinés à ma place. Bonne joueuse, je vais chercher plus loin : bingo, une place de libre à côté d'une jeune fille qui a dû manger un cendrier au ptit déj', qu'à cela ne tienne, je dégaine mon paquet de granolas qui masque l'odeur, et nous voila partis, direction Bordeaux (entre autre).
Deux gares plus loin, une mamie et son petit garçon nous dégagent sec de nos places.
Je retente une deuxième fois de récupérer ma place auprès des deux racines quiquagénaires qui me renvoient paître. Merde quoi, j'avais réservé exprès pour éviter ce genre d'embrouilles, et là en plus, ils s'excusent même pas ! Je repars en machouillant ma colère grosse comme un malabar quand je tombe sur un agent de la SNCF à qui j'explique mon problème. Nous convenons tous les deux que les gens sont parfois bêtes, et il me propose de finir le voyage en 1ère classe : en voilà une idée qu'elle est bonne !!
Du coup, je passe une heure et demi à me relaxer en brodant, "Dirty Dancing" à fond dans mon MP3, sous l'oeil incrédule de l'anglais en face de moi.
Quand je vous disais qu'il fallait le vivre de l'intérieur pour vraiment savoir ce qu'était une bonne grève des transports à Paris !!
Ce weekend, j'étais à Paris, pour rendre une petite visite à Superdoudou, très bonne idée, d'aller à Paris en pleine grève SNCF - RATP...
Le moment le plus sympa fut quand même le trajet en métro de la place d'Italie jusqu'à la gare Montparnasse (1 métro sur 10, cinquante minutes d'attente, des gens excédés...). Après avoir laissé filer 2 rames, je décide de m'engouffrer quoi qu'il advienne dans la 3ème qui finit par arriver archi bondée comme prévisible.
Par un miracle galactique, je suis dedans !!!!
Nous voilà totalement coincés-encastrés les uns dans les autres. Mon face à face avec un charmant jeune homme tourne court, me voila le nez collé à une jeune dodue visiblement de mauvaise humeur. La rame s'ébranle lentement, mais s'arrête quelques mètres plus loin, en plein tunnel, puis la lumière se coupe : panne d'électricité. Supéér... En plus, grâce aux (faibles) ampoules de secours, je commence à discerner l'oeil de plus en plus mauvais de la dodue, si elle décide de s'énerver, c'est clair, je vais en prendre pour mon grade... Pour décontracter l'atmosphère, les deux mamies derrière moi proposent que ceux qui sont assis se mettent debout sur les sièges, pour faire un peu d'air , réaction mitigée dans l'assemblée, surtout de la part des principaux intéressés. Je décide alors d'apporter ma pierre à l'édifice, et pour détendre la dodue, je lui ôte mon écharpe qui, dans la cohue, lui est arrivée sur la tête. 5 min... 10min... ça me déplairait fortement d'avoir à regretter d'être montée dans cette rame après tout le mal que je me suis donnée ! Ouf, nous repartons, lumière et tout...
Quelques stations plus tard, je parviens à m'arracher de cet enfer pour en découvrir un autre : la gare Montparnasse. Enfin, je dois avouer que là, tout se passe plutôt facilement (et du coup je réalise pleinement que j'ai laissé Superdoudou pour un sacré temps...sniff sniff...).
Bon reprenons nos esprits, je suis à la recherche d'une voie 8, d'une voiture 6 et d'un siège 21. Les deux 1ères étapes se passent sans encombres, mais là, stupeur, il y a un couple de vieux enracinés à ma place. Bonne joueuse, je vais chercher plus loin : bingo, une place de libre à côté d'une jeune fille qui a dû manger un cendrier au ptit déj', qu'à cela ne tienne, je dégaine mon paquet de granolas qui masque l'odeur, et nous voila partis, direction Bordeaux (entre autre).
Deux gares plus loin, une mamie et son petit garçon nous dégagent sec de nos places.
Je retente une deuxième fois de récupérer ma place auprès des deux racines quiquagénaires qui me renvoient paître. Merde quoi, j'avais réservé exprès pour éviter ce genre d'embrouilles, et là en plus, ils s'excusent même pas ! Je repars en machouillant ma colère grosse comme un malabar quand je tombe sur un agent de la SNCF à qui j'explique mon problème. Nous convenons tous les deux que les gens sont parfois bêtes, et il me propose de finir le voyage en 1ère classe : en voilà une idée qu'elle est bonne !!
Du coup, je passe une heure et demi à me relaxer en brodant, "Dirty Dancing" à fond dans mon MP3, sous l'oeil incrédule de l'anglais en face de moi.
Quand je vous disais qu'il fallait le vivre de l'intérieur pour vraiment savoir ce qu'était une bonne grève des transports à Paris !!
samedi 10 novembre 2007
Le cruncho châtaigne :
Bon, certes, rien n'à voir avec le tricot, la broderie...ou encore avec le théâtre !! Mais c'est la découverte de la semaine ce truc !!
Composition de ce "truc de ouf" comme on dit à mon boulot : billettes de châtaigne, flocons de millet, miel, sarrasin soufflé , sirop de riz, noix de coco, corn flakes nature et noix de cajou (ils s'foutent pas dnot' gueule !), moi, j'appelle ça se soigner au ptit déj' !! Et puis "la châtaigne, c'est bon pour le tonus", c'est écrit sur le paquet, en plus, c'est bio, et le bio c'est bon (Borloo nous l'a assez répété), alors qui c'est qui a tout bon ? C'est le cruncho !!
Composition de ce "truc de ouf" comme on dit à mon boulot : billettes de châtaigne, flocons de millet, miel, sarrasin soufflé , sirop de riz, noix de coco, corn flakes nature et noix de cajou (ils s'foutent pas dnot' gueule !), moi, j'appelle ça se soigner au ptit déj' !! Et puis "la châtaigne, c'est bon pour le tonus", c'est écrit sur le paquet, en plus, c'est bio, et le bio c'est bon (Borloo nous l'a assez répété), alors qui c'est qui a tout bon ? C'est le cruncho !!
mercredi 7 novembre 2007
La galère de la journée :
Bon alors voila la technologie de nos jours c'est super...quand ça marche, sinon c'est super....bidon. Dire que j'aurai pu vous montrer des images de ma 1ère écharpe faite par mes petites mimines, mais non, décidément ce soir c'est la rébellion des engins...
Bref, entre une webcam qui me fait des photos floues (quoiqu'à partir d'un certain stade je ne devrai même pas avoir l'audace d'appeler ça des photos), et une caméra numérique (censée faire des photos, si, si, y a le mode "photo" dessiné dessus...) qui essaie de faire fumer mon cerveau en faisant disparaître systématiquement mes fichiers, je n'arrive pas récupérer une image potable de ma magnifique écharpe.
De toute façon, aujourd'hui en particulier les nouvelles technologies et moi avons déterré la hache de guerre pour duel sanglant : hier Superdoudou installe la freebox de ma coloc' et moi et tout fonctionne comme par magie : "mais minette c'est trop facile, c'est comme des legos" !! Aujourd'hui, Superdoudou repart en contrée parisienne et mon ordi n'a pas plus internet que moi je n'ai de c... Heureusement, Superdoudou fait aussi réparateur à distance (avec appel gratos et ptit mot doux en prime). Ralala j'vous jure la modernité moi j'suis fan...
Bon allez promis, dès qu'une cigogne dépose un appareil photo numérique sur la terrasse de l'immeuble, je vous montre l'écharpe en question, ainsi que d'autres bidouilles que j'ai fait avec Supermamie pour la plupart... (c'est bientôt Noël !!!!!)
Bref, entre une webcam qui me fait des photos floues (quoiqu'à partir d'un certain stade je ne devrai même pas avoir l'audace d'appeler ça des photos), et une caméra numérique (censée faire des photos, si, si, y a le mode "photo" dessiné dessus...) qui essaie de faire fumer mon cerveau en faisant disparaître systématiquement mes fichiers, je n'arrive pas récupérer une image potable de ma magnifique écharpe.
De toute façon, aujourd'hui en particulier les nouvelles technologies et moi avons déterré la hache de guerre pour duel sanglant : hier Superdoudou installe la freebox de ma coloc' et moi et tout fonctionne comme par magie : "mais minette c'est trop facile, c'est comme des legos" !! Aujourd'hui, Superdoudou repart en contrée parisienne et mon ordi n'a pas plus internet que moi je n'ai de c... Heureusement, Superdoudou fait aussi réparateur à distance (avec appel gratos et ptit mot doux en prime). Ralala j'vous jure la modernité moi j'suis fan...
Bon allez promis, dès qu'une cigogne dépose un appareil photo numérique sur la terrasse de l'immeuble, je vous montre l'écharpe en question, ainsi que d'autres bidouilles que j'ai fait avec Supermamie pour la plupart... (c'est bientôt Noël !!!!!)
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