mercredi 19 janvier 2011
La grande cuisine de la semaine (suite) :
lundi 17 janvier 2011
La grande cuisine de la semaine :
Donc, désormais, le lundi soir, je vais acheter mes petits légumes (parce que y a moins 10% le lundi faut dire...), et cette semaine, j'engage la suite du combat, après la tarte, je vise une compote de pommes à la cannelle, une soupe oignons-carottes-pommes de terre-poireaux (les premiers de ma vie que j'achète toute seule comme une adulte), et une ratatouille !
Ouais, c'est que des légumes et des fruits, je sais.
Tout va bien se passer...
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vendredi 14 janvier 2011
Le repas du jour :
Du coup, j'ai l'impression d'avoir mûri...
jeudi 13 janvier 2011
La grosse blase du matin :
Mais ce matin, j'ai pu constater que la boutique d'arts plastiques qui se situait à mon arrêt de tram a gentiment cédé ses locaux à un magasin de... literie. Eclairé. Avec des lits partout...
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mercredi 12 janvier 2011
La série de la rentrée :
La chanson du moment :
C'est Hindi Zahra, découverte grâce à la SupertataNano !
Encore merci !!
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L'essai de lecture du moment :
Je re-essaye d'entamer ce bouquin pour la troisième fois, alors que je suis définitivement en retard pour rendre mes documents à la bibliothèque...
Non pas que ce livre soit ch****, mais des fois, j'ai l'impression que si ça veut pas, ben... ça veut pas...
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Le spectacle de la semaine :
Et quatre étoiles par Télérama aussi tout de même !
Bon, bien sûr, il y a eu des passages "gogoles" comme on dit dans notre jargon, quelques passages assez péjoratifs aussi, mais dans l'ensemble, c'était beau à voir, au sens "esthétique" (mention spéciale pour les figures d'acrobatie !).
Le plateau est incliné, instable, soumis aux lois de la gravité. Un pas de côté du plus fluet des interprètes, et le voilà qui bascule, plonge à bâbord, se cabre à tribord, entraînant avec lui une platine de DJ résonnant de grincements suspects, ou une chaise à trois pieds à la dislocation inévitable. Une trappe qui s'ouvre en son socle, et c'est un type aux airs égarés qui dévale et remonte la pente, suivi de cartoonnesques personnages, trois femmes, deux hommes, acrobates ou danseurs. Vêtus de rouge cerise, de vert pomme ou de jaune canari, ils affichent des caractères diversement bien trempés qui ne demandent, évidemment, qu'à se mélanger. Sauf que le moindre rapprochement de l'un vers l'autre menace la stabilité de tous et de chacun. Qu'importe. Les couples vont se faire et se défaire, se jauger, se séduire, se jalouser, rouler des hanches ou des mécaniques, s'envoyer en l'air ou sur les roses, au propre et au figuré.
Si le couple ne devait être qu'une question d'équilibre et d'harmonie, Martin Zimmermann et Dimitri de Perrot n'auraient sans doute pas grand-chose à en dire. Car leur duo se révèle dans le déséquilibre, se nourrissant de ces petites instabilités qui font les grandes traversées. Au départ, le premier est chorégraphe-circassien-scénographe, le second, compositeur et DJ sorti des Beaux-Arts. A l'arrivée, ils sont Zimmermann et de Perrot, cometteurs en scène et interprètes de spectacles sens dessus dessous. Avec Gaff Aff, leur précédente pièce, ils singeaient la course vaine de l'homme moderne sur un plateau circulaire et giratoire en forme de tourne-disque géant. Sur la scène à bascule d'Oper Opis, entre les jeux sonores de De Perrot et les objets usuels que Zimmermann a toujours préférés aux accessoires de cirque, les fabuleux couples qu'ils invitent ne se complaisent pas dans des démonstrations de virtuosité ostentatoire. Mais contaminent notre imaginaire de la plus touchante manière, déployant une colossale énergie à nous raconter un monde sentimentalement mouvant.
Telerama n° 3089 - 28 mars 2009
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dimanche 2 janvier 2011
La lecture de début d'année :
La lecture de la fin d'année :
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La nouvelle année qui commence :
M'enfin, bonne année à tous tout de même !
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