Aujourd'hui, je retrouvais Superpapou, Supermamounette et Supersoeurette (eh oui les pralines j'ai une Superfamille !), en vacances dans la charmante petite bourgade de Soulac sur Mer.
Train à 7h24, la tête dans l'... une partie du corps que je ne citerai pas par décence, me voilà à 7h15 à chercher la voie C, alors que les voies de la gare sont numérotées... ("Non, je ne m'agacerais pas.")
Deux gentils agents de gare plus tard, je suis enfin sur ce fameux quai, pour découvrir ce qui m'attend : deux wagons pratiquement remplis, uniquement par des mâles entre 16 et 18 ans,et que des sièges à quatre.
En plus il fait une chaleur étouffante dans ce wagon, et j'ai un T-shirt super décolleté, résultat je perds des litres de sueur, en refusant d'ouvrir ma veste, n'ayant aucune envie de m'endormir la bouche ouverte (comme je sais si bien le faire), et les seins à l'air. Finalement, j'entrouvre ladite veste, mais je lis ma pièce ("La cuisse du Steward" de Jean Michel Ribes, pour les pralines qui se cultivent) en me collant le livre au nez (parce que bien sur, il est hors de question que je fasse dépasser ne serait-ce que la couverture du Cosmopolitan que je me suis acheté à Relay, et qui m'annonce qu'il va me révéler tout ce que les hommes veulent savoir sur les femmes et le sexe.
Suicidaire moi ? Non mais ça va pas !
Toujours est-il qu'une heure plus tard, tout ce paquet de testostérone dégage le wagon, me laissant encore toute rêveuse sur la dernière version de PES, et le dernier match des Girondins...
Aah les mecs...
.
Train à 7h24, la tête dans l'... une partie du corps que je ne citerai pas par décence, me voilà à 7h15 à chercher la voie C, alors que les voies de la gare sont numérotées... ("Non, je ne m'agacerais pas.")
Deux gentils agents de gare plus tard, je suis enfin sur ce fameux quai, pour découvrir ce qui m'attend : deux wagons pratiquement remplis, uniquement par des mâles entre 16 et 18 ans,et que des sièges à quatre.
En plus il fait une chaleur étouffante dans ce wagon, et j'ai un T-shirt super décolleté, résultat je perds des litres de sueur, en refusant d'ouvrir ma veste, n'ayant aucune envie de m'endormir la bouche ouverte (comme je sais si bien le faire), et les seins à l'air. Finalement, j'entrouvre ladite veste, mais je lis ma pièce ("La cuisse du Steward" de Jean Michel Ribes, pour les pralines qui se cultivent) en me collant le livre au nez (parce que bien sur, il est hors de question que je fasse dépasser ne serait-ce que la couverture du Cosmopolitan que je me suis acheté à Relay, et qui m'annonce qu'il va me révéler tout ce que les hommes veulent savoir sur les femmes et le sexe.
Suicidaire moi ? Non mais ça va pas !
Toujours est-il qu'une heure plus tard, tout ce paquet de testostérone dégage le wagon, me laissant encore toute rêveuse sur la dernière version de PES, et le dernier match des Girondins...
Aah les mecs...
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