Aujourd'hui, grosse journée au boulot : 12h - 22h45, avec une pause de 15h à 16h30, pendant laquelle je rentre dans mon doux foyer, en quête d'une cyberconversation avec Superdoudou. N'ayant vu le temps passer, à 16h15, je me hâte de repartir au travail, prenant soin avant de quitter le nid de me confectionner un p'tit sandwich pain-kiri (ben c'est vrai là c'est l'heure du goûter quoi...).
Etant pressée, je me hasarde à appeler l'ascenseur, au cas où... Bingo je l'entends monter sans caprices. Je croque dans mon kiri en l'attendant.
Manque de bol (pourtant j'aurai dû savoir que c'était évident !), quand il s'ouvre et que je fonce à l'intérieur, je me heurte à Supervoisin. Juste le temps de bredouiller, "Ho, Bonvour, efcugez-moi !", et de lui postilloner un gros moucheton de kiri sur le caban (oui, le kiri est fourbe !)
Alors que la porte de l'ascenseur se referme avec une lenteur incroyable, je le vois me jeter un regard complètement incrédule et sortir un mouchoir de sa poche pour essuyer la traitresse particule blanche et crémeuse ornant son col.
Je crois que lui aussi doit redouter de me croiser dans l'ascenseur...
Etant pressée, je me hasarde à appeler l'ascenseur, au cas où... Bingo je l'entends monter sans caprices. Je croque dans mon kiri en l'attendant.
Manque de bol (pourtant j'aurai dû savoir que c'était évident !), quand il s'ouvre et que je fonce à l'intérieur, je me heurte à Supervoisin. Juste le temps de bredouiller, "Ho, Bonvour, efcugez-moi !", et de lui postilloner un gros moucheton de kiri sur le caban (oui, le kiri est fourbe !)
Alors que la porte de l'ascenseur se referme avec une lenteur incroyable, je le vois me jeter un regard complètement incrédule et sortir un mouchoir de sa poche pour essuyer la traitresse particule blanche et crémeuse ornant son col.
Je crois que lui aussi doit redouter de me croiser dans l'ascenseur...
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